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Avis trench-é



L’avantage indéniable des mi- saisons, c’est qu’on peut y porter tous les vêtements de notre garde-robe:

1) sans mourir de chaud

2) sans mourir de froid. 

3) sans mourir tout court

Oui pour moi, il n’y a que deux saisons, l’été et l’hiver, le printemps et l’automne n’étant que des leurres pour nous faire patienter entre les deux, parce que j’imagine bien que deux saisons de six mois chacune, ça ferait un peu trop long pour le commun des mortels.  A nous les joies d’un short réchauffé par un collant noir, qui nous épargne les besoins d’épilation ; nos petites robes agrémentées d’un gilet en laine, pas plus encombrants que nos grands manteaux d’hiver ; nos perfecto portés avec un simple t-shirt, qui nous permettent encore de lever nos bras (pour faire quoi, je ne sais pas), chose relativement impossible quand on porte les dits perfectos avec un gros pull en dessous, salut moi c’est le bonhomme Michelin. Pas pratique si Yannick nous demande de lever les bras

Bref les mi- saisons c’est la VRAIE VIE. Tu peux porter n’importe quoi sans avoir l’air con. Du coup, c’est un peu le folklore dans les rues : des gens en manteau croisent des gens en short qui croisent des gens avec des parapluies à la main. L’apocalypse de la garde-robe. Le choc des cultures. Enfin, c’est surtout le choc des « moi je me lève à 6h » et « moi je viens de sortir chez moi à 14h ». Oui parce qu’au fond avec toutes ces conneries, on ne sait jamais vraiment COMMENT S’HABILLER. Le matin, il fait froid, l’après-midi, il fait chaud. Démerdez-vous avec ça, vous avez trois heures. 
 
On ne peut pas tout avoir. Mais bon, ainsi va la vie ma foi.

Du coup, pour le look que je vous présente aujourd’hui, c’est le BORDEL TOTAL. Et vas-y que je te porte un trench avec des sandales avec un jean en simili-skaï-peau-de-sac-poubelle avec un top sans manches, le tout, sans aucun complexe. Et qui s’avère être la tenue idéale quand on gambade une journée entière, oscillant entre chaleur de l’après-midi et froid qui gèle la nuque une fois que la bise fut venue. Et qui s’avère être la tenue que je ne pourrais porter en d’autres occasions. A moins de vouloir cuir(e) en été, ou me faire amputer des orteils en hiver. Et comme bizarrement, je n’ai envie ni de l’un, ni de l’autre… 

Je porte un trench Zara, un top peplum Topshop, un jeans H et M, des sandales River Island et un sac Mango.  







On en a entendu parler #18










Le  célèbre photographe de mode, Mario Testino, s’expose pour la première fois à Paris, à la galerie Yvon Lambert. L’occasion d’admirer le travail de celui qui a shooté les plus grands autour de deux séries, Alta moda et Extremes, et ce, jusqu’au 24 juillet. 
 
On l’a bien compris, la Stan Smith est LA chaussure du moment, qui s’arrache, et se décline en mille et une versions, fruit de nombreuses collaborations. Rebelote avec la « Stan Smith prime knit », baskets fabriquée à partir de cette nouvelle matière « technologique » mise au point par Adidas, et disponible depuis hier au prix de 130€ sur l’e-shop d’Invincible. 

On l’a appris cette semaine, la maison de luxe Louis Vuitton, et plus précisément, Nicolas Ghesquière et Delphine Arnault ont convié, à l’occasion du projet « Icône et iconoclastes », six personnalités à revisiter le célèbre monogramme, emblème de la marque depuis 1896. Christian Louboutin, Karl Lagerfeld, Marc Newson, Franck Gehry, Rei Kawakubo et Cindy Sherman sont donc les heureux élus, et nous sommes sûrs que la collection capsule issue de cette collaboration, et qui sortira courant octobre 2014, sera couronnée de succès.


Amies parisiennes, cette information est pour vous. Si vous êtes fan de nail-art, mais pas forcément douée, allez faire un tour ce week-end au Nail’s truck Monop’Make-up, organisée comme son nom l’indique par Monoprix. Placé au Carreau du Temple, c’est l’occasion pour vous  non seulement de repartir avec une belle manucure gratuite, mais aussi avec un bon de -25% de réduction à valoir sur la gamme make-up de Monoprix dès 40 euros d’achat. 

Le créateur indien Ashish Gupta rempile avec Topshop pour une nouvelle collection capsule, répondant au doux nom de Paradise Hotel. Elle se veut dans un esprit sportswear et féminin, tout en étant décalée. Des t-shirts aux baskets fluo compensées, tout est pensé au second degré. On parie que les fashionistas se rueront dessus. Disponible sur l’e-shop de la marque, pour des prix variant entre 43 euros pour des lunettes à 428 euros pour les baskets et sacs de la collection.