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Don't miss out! #1



On inaugure cette nouvelle rubrique qui mettra en avant, un bon plan à partager avec vos amies fashionista.

On commence avec LA nouvelle qui ravira tous les fans de luxe qui ne peuvent pas forcément s’offrir un sac en python tous les mois, ou tout simplement, qui ne peuvent pas le payer plein pot.

On connaissait déjà La Vallée Village, près du grand centre commercial Val d’Europe, qui nous propose les collections bradées de grandes enseignes telles que Maje, Sandro, Claudie Pierlot, Moncler ou encore Ralph Lauren. Désormais, on souhaite la bienvenue aux Galeries Lafayette Outlet, qui s’installe dans le centre
One Nation, près de Paris. 

Qu’est-ce-que c’est ? Un endroit unique de 800 mètres carrés, ouvert 7 jours sur 7, qui vous offre des réductions sur près de 50 marques différentes, bradées entre -30 et -60%. Le rêve !

Ce qu’on y trouve ? Ralph Lauren avec ses polos bradés à 42€, des trench Burberry à -50%, des ballerines Repetto à 89€, des sacs Balenciaga à moins de 500€, des sacs Michael Kors bradés à 135€, du Gant, du Paul & Joe, etc. de quoi vous faire une garde-robe de princesse à moindre coût.

Que vous soyez parisienne ou non, on est sûre que ce magasin sera le passage obligé de votre shopping. 

Jusqu’au 22 octobre, vous bénéficierez de 20 € de réduction dès 100€ d’achats, de quoi finir de vous convaincre ! 


Au sommet de la gloire


Si vous venez de temps à autre lire mes tribulations, alors vous savez sans doute que je fais partie de la catégorie : dressing rempli + personne folle = rien à me mettre.

Comme mon cas me semblait on ne peut plus désespérer, je me suis remise en question, et me suis promise (on n’est jamais mieux servie que par soi-même) d’arrêter d’acheter tout et surtout N’IMPORTE QUOI, sous n’importe quel prétexte farfelu. Exemple de prétextes farfelus :

 A) j’ai perdu 1 kg, youpi on fête ça en s’offrant une nouvelle robe (ou un bon resto). 

B) j’ai pris 1 kg, vite je suis déprimée (depuis quand est-il logique de récompenser un état dépressif, je vous le demande) , il faut que je m’achète des chaussures pour affiner ma silhouette compenser mon chagrin.

C) mon poids n’a pas bougé, mais il me faut quand même ce collier parce qu’il est vachement bien soldé (arnaque de moi envers moi-même).

Il y a aussi les plus pernicieux, ces prétextes qui vous prennent par les sentiments, qui vous pousseront même à croire que cette paire de chaussures est triste, seule, dans ce magasin, sans quelqu’un pour les chouchouter (et là, on est dans le délire complet les gars). Oui la folie n’a aucune limite, et les prétextes en sont une partie. TOUS LES PRÉTEXTES SONT CE QU’ILS SONT, donc vous n’avez aucune raison de vous récompenser à tort et à travers. Eh ouais, on est à l’armée ici, on RIGOLE PAS. Pas de caprices, et pas de chocolat. RIEN. Et on se remerciera le lendemain de ne pas avoir la gueule de bois du porte-monnaie, et de ne pas avoir acheter un énième compagnon de placard à nos amis les habits-encore-étiquetés-dans-le-placard.
Du coup, vu que j’essaye de plus ou moins appliquer ce que j’apprends ici avec vous, j’ai été très raisonnable ces derniers temps. Très peu d’achats soldesques, presque pas de caprices, et des achats réfléchis. Du basique, du portable plus de trois fois sans se lasser, sans qu’il soit déformer dans la machine à laver, et qui soit mariable avec au moins plusieurs pièces de ma garde-robe. J’arriverai presque à croire que je tiens le bon bout. Ça fait quatre jours que je me tâte à valider un panier sur un e-shop, et plus les jours passent, plus je me dis que si j’en avais besoin, je l’aurais déjà validé (mais je me dis AUSSI que si je continue d’y penser, c’est que j’en ai besoin, OUAIS ON N’A JAMAIS DIT QUE J’ÉTAIS LOGIQUE, sinon ce ne serait pas drôle).  Alors, à chaque fois, je pense à ce que j’appelle mon mantra shopping : si tu hésites sur quelque chose, alors ne le prends pas et pleure deux jours plus tard parce que ce p****n de truc est sold out. Et ceci est une histoire vraie, HASHTAG C’EST L’HISTOIRE DE MA VIE.

Bref la route semble semée d’embûches et de paires de chaussures tristes, mais j’ai l’impression d’avoir déjà réussi à me raisonner un peu, à arrêter de céder aux appels des mails racoleurs, aux vitrines des magasins estampillées de pancartes « soldes », aux copines qui ont besoin d’aller voir un truc-mais-pour-ça-faut-que-je-rentre-dans-450-magasins-désolée-pour-ta-rehab…

Je vis recluse dans mon dressing, voilà à l’heure qu’il est le constat de ma vie. 

Je me récompenserai presque d’avoir un comportement plus sain vis-à-vis du shopping tiens !

Je porte un short Asos, un t-shirt et des sandales Zara, un gilet Anna Sui, et des lunettes Saint Laurent.









Les dents de la mer



Cet article est sponsorisé par l’union française de la santé bucco-dentaire. Ou pas. Je vous laisse choisir, surtout que je ne vais parler aucunement de dentition, on n’a pas trouvé plus barbant comme sujet de conversation. Même si, par exemple, je pourrais vous dire que je n’ai jamais eu de caries de ma vie, alors que je la passe à manger des bonbons. Mais ce serait me vanter, alors je n’en parlerai pas. J’ai quand même des sujets de conversation plus intéressants. Heureusement pour vous et moi.

Bref (oui je suis décidément fan des introductions à la con).

Pourquoi ai-je donc nommé ce sujet les dents de la mer (oui parce que pour une fois, il y a un rapport avec ce dont je vais parler) ? Tout « simplement » (oui parce que j’ai une idée somme toute assez spéciale de la simplicité) car hier, à l’occasion de ce jour de fête Nationale, je suis partie faire les magasins. Magasins où je ne mets plus physiquement les pieds depuis des lustres, lui préférant ses amis de l’Internet. Et comment vous dire ? Faire les boutiques, quand on n’en a plus l’habitude, c’est un peu comme faire du vélo en plein Paris en heure de pointe : UNE MAUVAISE IDÉE. 

Idée doublement mauvaise quand vous êtes en pleine période de soldes. Se dessinent alors un schéma d’une boutique féminine que nous appellerons X somme toute classique :

-Les hommes en dépression, accoudés aux portants : il est convenu que de plus en plus d’hommes aiment faire les boutiques, s’entretenir et être bien habillé. Mais il est également convenu que les hommes aiment faire les boutiques pour LE PLAISIR DE FAIRE LES BOUTIQUES : pas pour PORTER LES SACS DE LEUR COPINE, ATTENDRE INDÉFINIMENT DEVANT UNE CABINE D’ESSAYAGES, PASSER A LA CAISSE et ACCEPTER AVEC PLAISIR ET SOUMISSION DE SUIVRE LEUR CHÉRIE DANS 450 BOUTIQUES DIFFÉRENTES POUR TROUVER LE TRUC QU’ELLE IRA ÉCHANGER DEUX JOURS PLUS TARD. Reconnaissable à son air perdu, et à sa capacité à hocher la tête au bon moment, pour mettre fin à son calvaire au plus vite. 

-La cliente qui prend de la place : reconnaissable au fait qu’elle se promène toujours avec un sac à l’épaule suffisamment grand pour pouvoir vous donner des coups qui piquent avec « sans faire exprès » et même qu’elle ne vous dira pas pardon parce « qu’elle ne vous a pas vu » (c’est pas elle qui le dit, mais on sait toutes que C’EST VRAI ! ). 

-La cliente qui a fait la guerre : reconnaissable au fait qu’elle n’a aucunement peur de plonger dans un bac rempli de cochonneries en tout genre ou à se mettre à quatre pattes sous les rayons pour TROUVER LA BONNE AFFAIRE. Affaire que vous ne ferez jamais parce que vous portez sûrement un jeans taille basse ou trop serré. 

-La clienteeuuuhhhh: C’est celle qui n’hésitera aucunement à rester planter devant le rayon ou le portant que vous convoitez tant, parce qu’elle hésite sur un truc, et a besoin de demander l’avis au public avant de se décider. Ou pas. C’est la même personne que vous retrouverez 450 fois à la cabine d’essayages, en train de refourguer la moitié du magasin à la pauvre hôtesse de cabine (mais si vous l’y voyez 450 fois, posez-vous aussi des questions). C’est la même personne qui retiendra la caissière en otage pendant 20 minutes afin d’être sûre qu’elle puisse être remboursée si ça ne va pas (quand bien même elle aura essayé avant).

-La cliente pas-cliente-mais-qui-a-une-amie-qui-est-cliente : Aussi désespérée que son acolyte « petit copain de », elle est reconnaissable à son air réfléchi. Elle ne sait pas si c’est elle qui n’est pas normale parce qu’elle n’achète rien ou si toutes ses congénères qui l’entourent sont folles à lier.

-La cliente orange : Vous ne l’avez certainement jamais vu, mais vous savez qu’elle est passée par là, rapport aux tâches de fond de teint qu’elle laisse délibérément après son passage sur les vêtements remis sournoisement en rayon. On rattachera a cette catégorie la cliente Alzheimer, qui a tendance a oublier qu'elle a pris dix kilos entre avant et maintenant, et qui n'hésitera pas a faire péter les coutures de la robe que vous convoitiez, persuadée de pouvoir rentrer dedans. 

-La cliente « le client est roi » : Elle n’hésite pas à chambouler le rayon pour trouver sa taille dans la pile fraîchement rangée par la vendeuse, qu’elle n’hésitera pas non plus à solliciter 250 fois afin de savoir si « vous n’auriez pas ça en stock, et si non, est-ce-qu’ une autre boutique l’a, et vous pourriez pas les appeler pour m’en faire mettre un de côté en attendant que je vienne le chercher l’année prochaine », et à qui elle refourguera tous ses essayages en boule au sortir de la cabine, parce que « chacun son travail ». Appelée aussi la cliente casse-couilles.

-ET enfin, celle qu’on attendait toutes : la cliente normale. Celle qui respecte ces vendeuses qui sont debout depuis 8h du matin, qui perdra une minute de sa vie à remettre en place ce qu’elle a dérangé, se prenant au passage un coup par la cliente qui prend de la place, parce que bon, on n’a pas que ça à foutre. Celle qui s’excuserait presque d’être là, qui se dépêche d’essayer, de payer. Qui remet les vêtements sur les cintres après les avoir essayé, voir qui les remet en rayon elle-même, parce que c’est déjà assez dur comme ça.

Je porte un jeans Mango, un top Zara, un collier Forever 21, des sandales Ioannis, des lunettes Saint Laurent, et un sac Louis Vuitton. 








Get the look #7 Avoir du style même sous la pluie






1. Ce n’est pas parce qu’il pleut et qu’il fait gris que la morosité doit vous gagner ! Alors on adopte cette jolie parka qui permettra de se protéger tout en restant stylée ! Zara 59.95€



2. Cette chemise vaporeuse saura habiller notre tenue, tout en restant assez légère pour être portée durant l’été. Zara 39.95€



3. Quand on se bat avec son parapluie, on n’a pas en plus envie d’avoir un sac qui nous encombre les mains, alors on adopte ce sac pastel, à porter sur le côté ou en bandoulière, pour parfaire notre look chic sous la pluie. & Other Stories 38.00€
4. On garde un style décontracté avec ce jeans destroy, tendance phare de la saison ! Zara 29.95€



5. Ou on préférera jouer l’effet marin jusqu’au bout, avec cette chemise imprimée d’ancres ! L’essayer c’est l’adopter. Zara 39.95€



6. On attache nos cheveux afin de préserver notre brushing de la pluie avec cette jolie barrette, aussi girly que les babies que l’on porte aux pieds ! Forever 21 1.45€



7. C’est l’été, alors hors de question de remettre nos bottines hivernales pour affronter la pluie. On féminise notre tenue avec de jolies sandales bien soldées sur Yoox, à l’imprimé fleurie ! Opening Ceremony 235.00€