Que l’on soit une fashionista en puissance ou non, il arrive tôt ou tard un
moment fatidique dans la vie, celui de la FLEMME.
Parce qu’on se sera levée un peu trop tôt ; parce qu’aujourd’hui on
n’a pas la tête à ça ; parce qu’on aura trop picolé joué au
Pictionnary la veille et qu’on n’a pas les idées trop en place ; parce que
c’est LE jour du débarquement dans votre slip (oui je suis tout en
finesse). Et concrètement, savoir que
votre haut est bien assorti à votre jupe, que vos chaussures sont bien issues
de la même paire, et que vos sous-vêtements sont bien assortis révèlent du
cadet de vos soucis.
Ces jours-là, j’ai trouvé la parade : je cède à la facilité de la
robe. Robe égal haut et bas forcément assortis, et dit surtout, qu’en trois minutes
je serais prête (le temps de mettre la main sur un collant pas troué car oui,
j’ai tendance à garder mes collants troués, en me disant que ça fera bien
l’affaire un de ces quatre sous un pantalon, tout en sachant que j’ai horreur
de mettre un collant sous un pantalon, rapport au fait que je suis
claustrophobe du slip, et que donc je n’en porterai jamais. Bref).
Alors si pour certaines, la robe s’avère être l’apparat des grandes
occasions, de la sophistication, du glamour et de l’élégance (tant qu’à faire),
pour moi il est avant tout synonyme de facilité et flemme. Oui la robe est mon
jean-converse, mon jogging-cheveux sales, mon Stone et Charden. Mais bon, ce
n’est pas pour autant qu’il faille faire péter les escarpins de douze
centimètres, restons sur la tendance flemme, et adoptons les bottines aussi
plates que la platitude, qui permettront à la feignasse aguerrie que je suis de
courir partout (oui car je suis une fainéante très active, une traître en
somme). Du coup, rien à voir, mais l’inconvénient de porter une robe même et
surtout quand on a la flemme, c’est que vos amis ne sont jamais émus de vous
voir sur votre 31, ni le 31 ni le reste de l’année ; et que le port du
jogging active chez eux le mode « compassion », rapport au fait que
vous devez sûrement être déprimée pour en arriver à un tel taux de laxisme. Fin
de la parenthèse.
Oh et puis tant qu’à faire, fin de l’article tout court.
Je porte un pull Zara, une chemise Levis, des baskets Isabel Marant et un manteau Pimkie.
Très drôle cet article, il m'arrive souvent en effet d'avoir la flemme, mais quand c'est le cas pour moi c'est pull-jean!
RépondreSupprimerwww.lilyzab.com
Merci ;) Oui, je pense que c'est moi qui doit être sacrément bizarre ^^
SupprimerBisou ma belle!
Ah la flemme, grande amiiiie mais parfois, pas le choiiiiix d'aller au delà de cette vilaine haha
RépondreSupprimerBisous bisous
http://mademoisellevi.blogspot.fr
Oui c'est sur, et puis ce serait du gâchis que de laisser dormir toutes ses jolies fringues dans son dressing! ^^
Supprimerbisous Virginie!!
Et dire que je pensais être la seule à remettre mes collants troués dans le tiroir. Merci, je me sens moins seule. Enfin le pire dans cette sale habitude c'est que chaque fois que - dans un stress ingérable - je cherche désespérément une paire, il faut que je les essaie tous pour trouver le seul qui reste intact. Mais en général, dans l'agitation du moment, je le file avec un ongle cassée ou autre... Hashtag TOUGHLIFE. Bref c'était le quart d'heure du racontage de vie :D
RépondreSupprimerTrès joli tenu ceci dit :)
Bises
Iva
Merci ma belle! jajaja tout pareil, je me dis que je ferai mieux de faire un cote collants troués et un cotes collants intact! Mais si je suis pas la seule dans le cas, alors tout va bien!
SupprimerBisous!